Les soldats inconnus du XXIè siècle

Jérémie MARADAS NADO, né le 17 juin 1968 à Bangui, République Centrafricaine, ancienne colonnie française du nom de Oubangui Chari.

Educateur dans les quartiers difficiles (convention avec les écoles prioritaires et les centres fermés pour l'éducation et la réhabilitation, l'insertion et/ou la réinsertion des jeunes en difficultés) ;

Coach personnalisé et phylosophe urbain au sein de la communauté afro-américaine pour ses luttes pour les droits civiques et contre le racisme et la discrimination en France ;Ancien chef de la section Kamikaze des Black Dragons et personnage emblématique de la lutte contre les fâchos, les Skinheads ;

Maître des arts martiaux, 7e Dan, reconnu au niveau mondial ;

Auteur de Coeur de Gang, un manuscrit sociologique qui traite le monde et l'univers des grandes métropoles et ses antennes dans les guettos.

Manager et producteur de la culture urbaine (art, spectacle, événetmentiel...)

Jérémie MARADAS NADO alias Jo Dalton est un personnage controversé qui s'est opposé à Soral et Dieudonné et contre les fâchos dans les années 2014.

Jérémie m'a confié les mots qui lui ont été transmis par son père, Paul MARADAS NADO, ancien Parlementaire français, Sénateur de la République aux côtés de François Mitterrand ; membre du Référendum de la Ve République et indépendantiste de la République Centrafricaine.

Ce sont les mots recueillis par son père auprès de son grand-père, tirailleur sénégalais et chef du bataillon de l'Oubangui Chari (1914-1918). 

Jérémie MARADAS NADO a le sentiment que la France pour qui il s'est battu durant les compétitions de Taekwondo en équipe de France est amnésique et hypocrite face au sacrifice du sang des acfriacins à un moment où la France était au plus bas. 



Jérémie se souvient des récits que racontait son père sur les épopées de son grand-père, Ali Nado, durant les campagnes de la Guerre Mondiale dans les tranchées ; comment dans ses contingents, lorsqu'ils traversaient la France pour aller se battre contre les allemands, la discrimination raciale déjà faisait rage. Non pas entre les premières lignes de feu mais dans les couloirs et casernes car au front, lorsque le sang coule, il est rouge pour tous.

En revanche, lorsque vous siégiez dans les bureaux, la hiérarchie marquait bien la différence de couleur notamment au niveau du poids des charges pour les poilus et comment les tirailleurs étaient exposés en première ligne : la chaîr à canons. Ses compagnons tombaient telles des mouches.

Son grand-père s'organisera pour limiter ces sacrifices tant bien que mal, et lorsque De Gaulle capitula face à la pression politique en France qui méprisait les tirailleurs, il s'en est allé se constituer en résistance afin de préparer les enfants de l'Oubangui Chari à l'Indépendance.

Il inscrit tous ses enfants chez les missionnaires dans un premier temps, afin de comprendre et s'élever dans les hauts rangs dignitaires qui constituaient la colonnie francaise. Il fallait apprendre les rouages et maîtriser les codes de la politique française et de l'élitisme pour un futur de l'Afrique.


Son père, le premier fils du tirailleur, a suivi les orientations de son père et est sorti parmi les meilleurs élèves. Par ailleurs, il a évolué jusqu'à devenir Parlemantaire au Palais de Bourbon, actuelle Elysée.

L'Oeil de Moprezo est sur le décryptage et les investigations du dossier afin de connaître les détails de cette lignée, de ce soldat inconnu qui continue d'oeuvrer dans les quartiers difficiles et auprès de la population pour maintenir un équilibre dans un monde déchiré aujourd'hui par le repli communautaire, le choc des civilisation, notamment grâce aux réseaux sociaux et les infos qui traversent le globe en un temps record lorsqu'il s'agit d'un sujet aussi contraignant...

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